L'Etrange Histoire de Benjamin Button
Je ne vous parle pas souvent de cinéma ici, alors que pourtant c'est l'une de mes activités principale du moment, entre la fac, où c'est la matière que j'étudie, mais surtout les nombreux films que je vois par semaine.
A l'écoute d'un ami, je pense que je vais vous faire une note par semaine (le lundi probablement) dans laquelle je vous parlerais des films que j'ai pu voir récemment, que ce soit au cinéma, à la cinémathèque ou encore en DVD. Le but étant de faire ici un petit guide cinéphilique pour les non cinéphiles, je vous dirais ainsi quels grands films sont inratables, lesquels sont, ou encore obscurs, en toute subjectivité bien évidemment ; )
Et pour commencer cette nouvelle chronique, je vais juste vous parler de ce dernier film que j'ai vu en salle, L'Etrange Histoire de Benjamin Button, de David Fincher.
Je pense que déjà beaucoup d'entre vous ont du le voir, ou comptent y aller prochainement, et bien que vos camarades vous disent qu'il y à quelques longueurs (2h35 quand même), et que ce n'est pas le genre de films que j'ai l'habitude d'encenser, je vous le conseille vivement.
Je vous le conseille vivement parce qu'il est tout simplement troublant, et déroutant techniquement. On ne saurait rester indemne face au rajeunissement de Brad Pitt vs le vieillissement de ses proches, notamment la très belle Cate Blanchette (que j'aime et que j'adore, qui est ici magnifique, mais moins que Brad habituellement plus fade).
Cette "Histoire de Benjamin Button" est avant tout une histoire du siècle, qui commence avec la Première Guerre Mondiale et s'achève avec l'ouragan Katrina en Nouvelle-Orléans. Pour moi est ici le seul "défaut" du film, qui n'en est pas un : j'aurais bien jalonné le quotidien de Benjamin par plus (il y en à deux, de mémoire) d'images d'archives typiques d'une époque par le biais de la télevision et de la radio.
Je ne pourrais vous faire une critique en bonne est dûe forme de ce film, parce que je ne fais pas ça très bien, mais voilà, pour le coup, je vous dis au moins que ça en vaut la peine !
Quelle chute, vous me direz, eh bien revenez la sermaine prochaine pour un numéro plus éclectique de cette nouvelle chronique !